ENTREPRISE NETTOYAGE SUITE SINISTRE INCENDIE
Entreprise spécialisée dans le nettoyage et l’enlèvement de la suie après incendie – CBIE France
Après un incendie, le nettoyage de la suie est une étape cruciale pour restaurer la qualité de vos surfaces, assurer la sécurité sanitaire et préparer les travaux de rénovation.
CBIE France est votre partenaire expert pour le décapage, nettoyage et enlèvement de la suie sur tous types de supports — bois, métal, pierre, béton — avec des techniques professionnelles adaptées à chaque situation.
Nos prestations spécialisées post-incendie
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Évaluation de l’étendue des dégâts et diagnostic des surfaces contaminées par la suie et les résidus de combustion
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Nettoyage en profondeur par aérogommage, hydrogommage ou sablage basse pression, permettant d’éliminer la suie sans abîmer les matériaux
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Traitement et décontamination des poutres, murs, plafonds, bardages et structures endommagés
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Préparation des surfaces pour les travaux de rénovation ultérieurs (peinture, vitrification, traitement anti-corrosion)
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Intervention rapide et sécurisée pour limiter la propagation des résidus et odeurs
Pourquoi choisir CBIE France avec un sinistre incendie ?
L’entreprise SPIIE France vous accompagne dans cette étape souvent douloureuse de sinistre après incendie.
Nous sommes équipées d’outils qui nous permettent de nettoyer en profondeur la suie et résidus.
Nous utilisons l’aérogommage, la cryogénie qui permet de nettoyer sans poussière suite incendie.
Pourquoi nettoyer la suie après un sinistre incendie ?
Décaper après un incendie est une étape cruciale dans la restauration d’un bâtiment ou d’un objet endommagé par les flammes.
Voici les raisons principales pour lesquelles cette action est importante :
- Élimination des résidus de fumée et de suie : Après un incendie, des particules de suie et de cendres peuvent s’incruster sur les surfaces, même si le feu n’a pas directement touché certains endroits.
- Ces résidus sont souvent très tenaces et peuvent laisser des taches indélébiles si on ne les enlève pas rapidement.
- Prévention des dommages à long terme : La suie et les produits chimiques issus de la combustion peuvent causer des dommages supplémentaires aux matériaux, notamment au bois, aux métaux, aux peintures et aux tissus.
- En enlevant ces résidus, on évite qu’ils n’altèrent définitivement la structure et l’apparence des surfaces.
- Élimination des odeurs de fumée : La suie et les cendres peuvent retenir des odeurs de fumée très persistantes.
- Le décapage permet d’éliminer ces éléments et de prévenir l’absorption des mauvaises odeurs dans les matériaux (bois, tissus, murs, etc.).
- Assainissement : Décaper permet de nettoyer en profondeur les surfaces et de désinfecter les zones touchées,
- ce qui est crucial pour assurer un environnement sain et éviter la prolifération de moisissures ou de bactéries, qui peuvent se développer après un incendie dans des zones humides ou mal ventilées.
- Préparation pour la restauration : Lorsque les surfaces sont décapées, elles sont prêtes pour la réparation, le traitement et la restauration.
- Cela peut inclure la peinture, le vernissage, la pose de nouveaux revêtements ou d’autres travaux nécessaires pour redonner à l’espace ou à l’objet son aspect d’origine.
En somme, le décapage après les sinistres et incendie est essentiel non seulement pour des raisons esthétiques, mais aussi pour garantir la durabilité et la sécurité des matériaux concernés.
CBIE France utilise des systèmes de nettoyage de haute qualité tel que l’aérogommage et la Cryogénie.
Sinistre Incendie 11100 Narbonne
Définition de la suie WILKIPÉDIA:
La suie est un agrégat polluant de composés chimiques pour la plupart riches en carbone, se présentant comme une substance d’aspect noirâtre, salissante et d’odeur âcre résultant de la combustion incomplète de matières carbonées. Les « grains » de suie ont l’apparence trompeuse de minuscules grains ronds et d’un noir mat (matière optiquement très absorbante), qui en réalité, observés au microscope électronique s’avèrent être des agrégats complexes de particules bien plus petites, organisées dans des configurations décrites par Jullien et Botet en 1987 et dans des morphologies ensuite décrites par Köylü et al. (en 1995)[1] ; Sorensen & Feke (1996)[2] et Brasil et al. (en 2000)[3].
Selon les contextes et les types de suies, le dépôt peut se présenter comme une poudre fine ou entrer dans la composition d’une pâte goudronneuse et odorante ou former des croûtes solides (sur les monuments, au contact de la pierre par exemple). Les dépôts de goudrons et suies dans les conduits de fumée sont inflammables et constituent un risque d’incendie (« feu de cheminée »).
Les fumées issues de la combustion de matière organique en contiennent une certaine proportion (dont une partie peut se déposer dans les conduits cheminées où la fumée passe). Les suies constituent une part significative des particules fines[4] et de l’aérosol urbain, de la pollution de l’air et de la pollution routière en particulier. Elles sont principalement produites par les véhicules motorisés roulant au diesel et à l’essence, par les cheminées des foyers ouverts, des inserts et des chaudières de chauffage au fioul et/ou au bois. Toutes les combustions incomplètes de combustibles fossiles et de la biomasse produisent des suies[5] qui contribuent à la pollution de l’air par des particules fines et à des effets plus visibles, comme le smog. La combustion de certains hydrocarbures est particulièrement émettrice de suies[6] ; c’est le cas du benzène qui était autrefois utilisé en milieu scolaire pour montrer ce qu’est la suie (il est désormais interdit d’achat car cancérigène).
On a longtemps cru que les répercussions de la suie sur la composition atmosphérique et sur le climat étaient faibles mais de nombreuses études récentes ont montré que la suie est une espèce plus polluante que prévu, affectant la réactivité[7],[8] et la composition chimique de l’atmosphère ainsi que son bilan radiatif terrestre[9] et la recherche de la présence de suie dans la stratosphère ne débute qu’à peine, via des instruments sous ballons, embarqués par des avions et à partir de données satellitales (GOMOS–Envisat)[9].